Description
Extensions maximales des droits des minorités, promotion de nouveaux standards sexuels, wokisme et combat contre les cultures indigènes (seulement si elles sont de racines judéo-chrétiennes), égalitarisme sans frontières, les idées « progressistes » ne cessent de gagner du terrain dans les sphères dirigeantes et médiatiques des sociétés occidentales, en France en particulier.
Comment en est-on arrivé là ? Le progressisme ne s’est pas imposé par sa seule puissance. Il a été financé et l’est encore aujourd’hui, de manière exponentielle. De nombreuses personnes ont pour métier de propager et diffuser les idées progressistes. Elles sont, pour la plupart, payées à temps plein pour le faire. Cela coûte des milliards d’euros. Tout le monde sait qu’il existe des associations subventionnées qui se mêlent de politique. Mais personne ne sait combien d’argent et d’emplois tout cela représente. Et personne n’a regardé quels circuits ont été mis en place dans les domaines associatifs, politiques et bancaires.
Le sujet méritait une enquête. Elle est l’objet de ce livre.
Les auteurs ont passé deux ans à éplucher les comptes de dizaines d’entreprises, associations, commissions étatiques, instances de villes et de régions. Un travail considérable, unique en son genre. Chaque chiffre avancé est sourcé et les montants vérifiés.
Le résultat est sidérant.
Emmanuel Rechberg est journaliste économique.
Wandrille de Guerpel est journaliste, spécialiste des questions de société.